Patrick O’Hara

Châteauguay—Les Jardins-de-Napierville

Patrick O’Hara est un homme d’affaires accompli, reconnu pour son engagement envers des causes importantes pour sa communauté. Né en Colombie-Britannique et adopté par une famille d’agriculteurs installée à Mascouche, il a appris dès son jeune âge à la ferme, l’importance de la persévérance et de la constance au travail.  Avec plus de 15 ans d’expérience en tant que propriétaire et directeur général dans la restauration, il a ensuite occupé des postes stratégiques chez Les Entreprises Robert Thibert, de directeur des ventes pour l’Ontario à vice-président marketing, communications et développement des affaires en Amérique du Nord. Ce parcours lui a permis de renforcer son réseau professionnel et de promouvoir la région.

Installé à Châteauguay depuis près de 30 ans, Patrick a su mettre à profit les connaissances acquises lors de sa formation en administration à l’Université McGill et a mis son expérience professionnelle au service d’organismes tels que la Fondation Anna Laberge, la Fondation Gisèle Faubert et le Centre Horizon, où il a siégé comme administrateur. Véritable homme de terrain et reconnu dans la région à cet effet, Patrick est un amoureux de sa communauté et du Québec. La détermination, l’honnêteté, le sens de la justice et le partage sont au cœur de toutes ses actions.

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Marc St-Hilaire

Chicoutimi—Le Fjord

.Marc St-Hilaire était directeur général de la Coopérative d’information Le Quotidien depuis le mois d’août 2020 lorsqu’il a fait le saut en politique pour le Bloc Québécois. Au cours d’une carrière de 22 ans dans l’univers médiatique, il a aussi occupé les fonctions de directeur de l’information et de l’éditorial, de chef de nouvelles et de journaliste. À titre d’analyste, il a collaboré pendant plusieurs années avec d’autres médias d’information du Saguenay-Lac-Saint-Jean (KYK 95,7, ICI Radio-Canada), de même qu’avec la Première chaîne de Radio-Canada et RDI. Il est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires (M.B.A.) de l’Université du Québec à Chicoutimi et d’un DEC en Art et technologies des médias (ATM). Il a également étudié au baccalauréat interdisciplinaire en arts de l’Université du Québec à Chicoutimi.

Passionné de culture, de sports et de voyages, il est avant tout un régionaliste engagé, qui a consacré sa vie professionnelle à défendre les intérêts du Saguenay-Lac-Saint-Jean. C’est dans cet esprit qu’en octobre 2024, il a pris la décision de joindre l’équipe du Bloc Québécois afin de représenter fièrement la population de Chicoutimi-Le Fjord, de sa région ainsi que du Québec.

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Nathalie Bresse

Compton—Stanstead

Résidente et native d’Ascot Corner, Nathalie Bresse est une femme de terrain, profondément attachée à sa communauté. Mère de deux filles, elle s’implique activement dans sa municipalité depuis l’âge de 14 ans. Son parcours politique débute en 2005 en tant que conseillère municipale, avant d’être élue mairesse d’Ascot Corner de 2010 à 2021, et de 2022 à aujourd’hui.
Son leadership, son dévouement et sa rigueur sont largement reconnus, tant au sein de sa municipalité qu’à la MRC du Haut-St-François, où son engagement fait l’unanimité. Femme de tête et de cœur, elle s’investit avec passion pour faire avancer les enjeux qui préoccupent les gens de sa région.

Comptant 35 ans d’expérience en entrepreneuriat, Nathalie a développé un sens aigu du service et une écoute attentive des besoins de sa clientèle. Elle apprécie particulièrement la proximité et les échanges avec les citoyens, une approche qui guide son engagement politique.

Aujourd’hui, elle se présente comme candidate du Bloc Québécois dans Compton-Stanstead, portée par la conviction profonde que le rôle premier d’une députée est de représenter ses citoyennes et citoyens. C’est cette mission qu’elle veut accomplir avec écoute, persuasion et authenticité en donnant, avec le Bloc, une voix forte à Compton-Stanstead.

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Diane Sénécal

Côte-du-Sud—Rivière-du-Loup—Kataskomiq—Témiscouata

Diane Sénécal a d’abord évolué dans le monde de l’éducation comme enseignante en français, en anglais et en art dramatique, en plus d’être responsable du groupe humanitaire d’une école secondaire, avant de se spécialiser en francisation. Elle y occupe ensuite le poste de directrice adjointe en immersion française et prend la responsabilité des étudiants internationaux. Par la suite, elle a développé une expertise dans le domaine de l’immigration à titre de coordonnatrice à l’accueil et à l’inclusion des nouveaux arrivants à la MRC de L’Islet, où elle occupe actuellement le poste de directrice du développement local et régional. Présidente du conseil exécutif de circonscription pour le Bloc Québécois depuis quelques années dans l’ancienne circonscription de Montmagny–L’Islet–Kamouraska–Rivière-du-Loup, elle agit également à titre de présidente régionale de sa formation politique pour l’Est-du-Québec, en plus d’être vice-présidente d’une instance nationale, soit la Commission de la citoyenneté du Bloc Québécois.

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Marilène Gill

Côte-Nord—Kawawachikamach—Nitassinan

Marilène Gill est née à Sorel. Après des études universitaires à l’UQTR, Marilène choisit la Côte-Nord, où naissent ses trois enfants. Maître en littérature, ayant débuté un doctorat en lettres, elle travaille et s’engage entre autres dans le milieu littéraire, comme directrice de collection chez Trois-Pistoles, représentante jeune puis membre de jury au Conseil des arts et des lettres du Québec, et autrice aux Herbes rouges. Enseignante en littérature au Cégep de Baie-Comeau, elle s’implique dans les causes syndicale et féministe, notamment comme coordonnatrice du Regroupement des femmes de la Côte-Nord.

Élue en 2015, elle est la première femme députée de Manicouagan. Elle a occupé successivement les fonctions de porte-parole en matière de Pêches et Océans et Garde côtière, puis en matière de Relations couronne-autochtone, Services aux autochtones et Affaires du Nord. Elle exerce également le rôle de whip adjointe du Bloc Québécois depuis 2019. Inspirée par les travailleurs nord-côtiers lésés par la faillite d’une branche d’une entreprise multinationale, elle a œuvré pendant ses trois mandats pour réussir à faire adopter un projet de loi qui défende les droits des travailleurs en matière de fonds de pension. Marilène s’exprime dans quatre langues, fautes de toutes les connaître, se passionne pour le langage de son fils neurodivergent non verbal et se prépare à rêver un jour en innu-aimun.

Dossier

• Whip adjointe

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